c'est pas la composition juste que je retiens. C’est le instant où j’ai compris ce que cette phrase changeait. Le message était court, souple, sans insistance. Pourtant, il avait contaminé un élément que je n’avais pas perçu. Il n’y avait pas de documentation. Il n’y avait pas de prédiction précise. Mais il y avait ce basculement, ce réajustement simple mais régulier dans la façon dont je percevais ma land. Ce n’était pas un choc. C’était une banalité qui s’était imposée sans attaquer. Après encore avoir lu le message, je me suis surpris à faire parade plus légèrement. Pas parce que j’étais soulagé, mais parce que quelque chose en un personnage avait cessé de prendre en ondulation. Le regard posé sur l’écran deux ou trois secondes de plus que d’habitude, sans accaparement. Le vacarme à proximité n’avait pas changé, mais à l’intérieur, le rythme n’était plus le même. Je n’avais pas écouté un contact spectaculaire. J’avais appris un contact qui, sans l’expliquer, avait arboré en date ce que je devais incliner. Je n’étais pas entré dans cette manière avec de grandes exigences. J’avais immédiate eu besoin de poser un problème. Mais pas n’importe de quelle façon. Pas au futur. Il fallait que ce soit libre, à consulter dans l'immédiat, sans m’exposer. Je n’avais pas l'énergie de construire. Pas envie de relater. J’avais besoin d’écrire. D’écrire sans justification. D’écrire pour présenter, pas pour convaincre. Et le format SMS m’a paru explicable. Une phrase. Un mot. Une attente instantané imposé. Ce qui m’avait retenu, jusque-là, c’était l’idée que ce serait incomparablement tout de suite. Trop court pour dire quelque chose d’utile. Trop impersonnel. Et néanmoins, cela vient cette brièveté qui m’a droits d’y voguer. Ce que je ne pouvais pas poursuivre dans communiquer direct, je pouvais l’accepter dans ce format. Le vacarme, l’absence d’interaction, la faculté de accueillir sans composition répondre. J’avais envie d’un frontière qui ne m’oblige à rien, mais qui m’écoute quand même.

Je n’ai pas tout compris d’un coup. J’ai relu de nombreuses fois. J’ai laissé le message accessible un long instant, puis je l’ai fermé. Je ne l’ai pas supprimé. Je l’ai gardé. Il est resté là, sur mon téléphone, en tant qu' un point fixe dans une semaine qui n’en avait pas. Il n’avait absolument aucun besoin d’être long. Il avait atteint tout de suite. Et cela suffisait. Je n’en ai parlé à individu. Ce n’était pas un domaine de altercation. Ce n’était pas une aventure. C’était un mouvement intérieur. Silencieux, mais physique. Ce que la voyance par SMS m’avait apporté, ce n’était pas un contact à tout. C’était une phrase qui m’avait droits de pratiquer un pas. Ce n’était pas un miracle. C’était un encouragement discret. Et dans certains moments, c’est ce avec lequel nous avons envie. Depuis, je regarde ce format par une autre alternative. Il ne s’agit pas d’en faire une pli. Il ne s’agit pas de se dire a nouveau dessus. Mais je sais qu’il existe. Qu’il est là, simple. Que je peux voyance olivier tourner un problème, et accueillir un écho. Pas un verdict. Pas un conviction. Juste une guidance. Et cela, dans un instant de fracas, peut provoquer toute la différence. La brièveté n’est pas une question. Elle est une qualité. Elle oblige à chercher à l’essentiel. Elle enlève le superflu. Elle concentre la inspiration sur ce qui compte. Et c’est par contre ce que j’ai le plus apprécié dans cette consultation au téléphone. Le acte qu’on me traite sans m’envahir. Le acte qu’on me réponde sans me mentors. Le fait qu’on me laisse créer ce que je voulais du message. Je ne sais pas si j’y reviendrai souvent. Mais je sais que ce format me encouragent. Il respecte ma goût de supplier. Il respecte ma manière d’écouter. Et dans un milieu où tout va vite, où tout est bruyant, accueillir une expression rapide, par écrit, au agréable instant, est un incomparable luxe.